Nous nous sommes retrouvés : Mo’, Françoise, Marianne, Isaline, Catherine, Vincent, chez Marie-France, qui nous a accueillis dans sa charmante petite maison de pêcheur, située à quelques encablure du Parc des Druides, entourée de tant de poésie.
Beaucoup d’ouvrages ont été présentés, et avons fait également une petite revue de presse. D’un registre à un autre, avons déambulé en voyages immobiles de Saint-Malo, en Espagne, au Japon, en Syrie… Nous nous sommes arrêtés sur la compassion de l’enfant déguenillé de toutes les époques, sur des territoires en guerre, recueillir ce qu’il peut encore rester de l’humain dévasté. Nous nous sommes embarqués vers des histoires mystérieuses ou sordides, avons essayé de comprendre les mécanismes amoureux, l’errance jusqu’à en mourir pour retrouver l’amour, la tentation démoniaque, la révolte du changement d’identité sociale, de la lutte des femmes en pays Breton, figures libres dans leurs actions et leurs actes. Tous ces fragments de vie où la curiosité nous a piqués. Et pourquoi écrire tout cela ? Parce que la littérature est l’essence même de tout cela ! Raconter c’est mentir ? Raconter c’est trahir ? Parfois oui !
Les romans, nouvelles et documents présentés aujourd’hui au jardin :
« Le sang noir » de Louis GUILLOUX
« Sang et lumière » de Joseph PEYRE (Prix Goncourt 1935)
Ces deux ouvrages mis en concurrence pour le Prix Goncourt 1935)…
« Saint-Malo » par CHATEAUBRIAND (la page hebdomadaire du Télégramme)
« Mercure » par Amélie NOTHOMB
« Les vagues » de Virginia WOOLF
« Déneiger le ciel » de André BUCHET
« L’humanité en péril » de Fred VARGAS
« Dessin au sable » de Nasaka AKIUKI
« Révolté » de Evguenia LAROSLAVSKAIA-MARKON
« Champ libre au Démon » de Vincent LARNICOL (nouvelle)
« Femmes dans l’Histoire – Bretagne » de Jean-Yves LE LAN
« Mauvaises rencontres » de Elisabeth HOREM (nouvelles)
« Mes amis je dois m’en aller… » de Marianne BUREAU, ce cadeau qu’elle a fait à tout le monde puisqu’elle va bientôt retrouver sa Normandie natale (petite brochure personnalisée).