Une nouvelle fois, nous nous sommes retrouvés à l’A.L. et nos auteurs nous accompagnaient, il faut dire que nous avons aussi parler beaucoup d’eux avec : Clairette, Marie-France, Danièle, Françoise, Catherine, Clo, Vincent, Marianne (par procuration), Isaline et rejoints par Sabrina.
Notre œil critique nous a fait revenir sur un roman : « Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais. Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire. Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier ? » mais nous n’avons pas été convaincus par l’écriture de cette histoire « cliché » à la construction artificielle. Heureusement une grande littérature est venue à la rescousse avec la grande guerre et le tragique des faits, la désinvolture de l’auteur enchâsse l’épouvante et son humour révèle l’horreur. Pour donner suite à Jane Austen pour « Orgueils et Préjugés » de nombreux pastiches ont été rédigés, certains avec succès, d’autres avec horreur, mais là nous avons eu une proposition d’une suite atypique tout en respectant le roman policier, le résultat est bluffant ! Puis place qsociale actuelle dans ce domaine » en Allemagne en tout cas. Lorsqu’une chanson bretonne nous sert de berceuse l’endormissement est facile à sa lecture. Et oui, un loup peut s’ennuyer aussi et chercher de la compagnie pour palier à ce désespoir, mais gare à lui ! Quand un héros sauveteur ne se méfient pas, l’éloge de la naïveté se glisse en première ligne et tout se retourne contre lui… Une trame dramatique, une histoire familiale, tous savaient dans le village mais ? Ah ! les préjugés… L’expérience de la solitude, loin, très loin, au-delà de toute matérialité apparente, mais la misanthropie de l’auteur par contre est bien apparente. La vie du siècle passé en Bretagne, quand les femmes montaient à Paris pour trouver du travail et peut-être aussi un bon parti, l’histoire est courante et banale pour cette époque puisque répétée dans plusieurs familles, mais quand c’est une ministre de la culture qui l’écrit alors là elle prend toute sa dimension ! Et pour plus de sagesse, peut-être ? le poète prophète est venu nous parler de sa douce voix pour tenter de nous mettre sur la voie de la raison.
Nous avons eu un débat très animé, parfois nous avons « flingué » mais toujours avec sincérité dans nos analyses.
Notre œil critique nous a fait revenir sur un roman : « Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais. Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire. Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier ? » mais nous n’avons pas été convaincus par l’écriture de cette histoire « cliché » à la construction artificielle. Heureusement une grande littérature est venue à la rescousse avec la grande guerre et le tragique des faits, la désinvolture de l’auteur enchâsse l’épouvante et son humour révèle l’horreur. Pour donner suite à Jane Austen pour « Orgueils et Préjugés » de nombreux pastiches ont été rédigés, certains avec succès, d’autres avec horreur, mais là nous avons eu une proposition d’une suite atypique tout en respectant le roman policier, le résultat est bluffant ! Puis place qsociale actuelle dans ce domaine » en Allemagne en tout cas. Lorsqu’une chanson bretonne nous sert de berceuse l’endormissement est facile à sa lecture. Et oui, un loup peut s’ennuyer aussi et chercher de la compagnie pour palier à ce désespoir, mais gare à lui ! Quand un héros sauveteur ne se méfient pas, l’éloge de la naïveté se glisse en première ligne et tout se retourne contre lui… Une trame dramatique, une histoire familiale, tous savaient dans le village mais ? Ah ! les préjugés… L’expérience de la solitude, loin, très loin, au-delà de toute matérialité apparente, mais la misanthropie de l’auteur par contre est bien apparente. La vie du siècle passé en Bretagne, quand les femmes montaient à Paris pour trouver du travail et peut-être aussi un bon parti, l’histoire est courante et banale pour cette époque puisque répétée dans plusieurs familles, mais quand c’est une ministre de la culture qui l’écrit alors là elle prend toute sa dimension ! Et pour plus de sagesse, peut-être ? le poète prophète est venu nous parler de sa douce voix pour tenter de nous mettre sur la voie de la raison.
Nous avons eu un débat très animé, parfois nous avons « flingué » mais toujours avec sincérité dans nos analyses.
Les auteurs et leurs œuvres :
« L’énigme de la chambre 622 » par Joël DICKER
« La mort s’invite à Pemberley » par P.D. JAMES
« La maison » par Emma BECKER
« Chanson Bretonne » par JMG LE CLEZIO (2ème lecture)
« Le secret du loup » par Morgan DE CADIER et Florian PIGE
« La guilde » par Oscar MARTIN et Miroslav DRAGAN
« Trois saisons d’orage » par Cécile COULON
« Sur les chemins noirs » par Sylvain TESSON
« Corentine » par Roselyne BACHELOT
« Le prophète » par Khalil GIBRAN