Nous étions sept aujourd’hui autour d’une littérature forte et solide comme un roc, avec : Jacqueline, Françoise, Marianne, Mo’, Deborah, Vincent, Isaline.
Comment trouver la reconnaissance en littérature si ce n’est parfois le hasard qui fait bien les choses ? Après trente-cinq refus de la part des éditeurs, il se peut qu’un jour la chance tourne mais vers quels profits ? Donner de la vie aux objets est aussi une construction littéraire très appréciée dans les légendes ou dans le domaine fantastique. La littérature est aussi une clef qui sert à ouvrir des règlements de comptes (ou contes) avec la mort. Le courage d’être soi peut être un long combat de douleur, fille = garçon ou garçon = fille, lorsque le cœur bat pour le choix d’une orientation travestie, c’est le point cardinal. Il règnera toujours sur le monde une ombre persistante qui se reflètera dans la glace avec la rumeur pour alimenter ce qui est dramatique.
Les auteurs du jour :
« Le mystère Henri Pick » – de David FOENKINOS (porté à l’écran – analyse)
« L’Etre à mort » – de Caroline CROZAT
« Point cardinal » – de Léonor de RECANDO
« Ulysse était resté à terre » – Collectif de la nouvelle des Escales de Binic 2018
Nos poètes de l’Académie des Lettres et d’ailleurs étaient présents avec des textes chamboulant la poésie ordinaire :
« Ombre » – de Mo’ (poème inédit)
« Rumeur » – de Mo’ (poème inédit)
« Fauve Papillon » – de Vincent LARNICOL (poème inédit)