C’est en présence de Françoise, Mo’, Vincent et Isaline qu’il y a eu un vrai échange pour des œuvres fortes et sensibles.
Un voyage au Mexique du 19ème siècle nous a plongés dans un récit parfois loufoque mais aussi fantastique de vies confrontées aux distinctions sociales, et dans le souvenir du centre de Mexico où le banditisme et la violence se mêlaient à un code d’honneur, on aura pu suivre aussi l’évolution de ce pays sans cesse en mouvance. Les reporters photographes qui parcourent le monde et pris en otages a été aussi un sujet récurrent et touchant, nous avons été happés par une écriture extraordinaire relatant les douleurs profondes de l’humain confronté à cette situation, comment se reconstruire ? Le pouvoir de séduction, par le regard des autres, nous fait comprendre qu’il n’est pas éternel, il se cultive peut-être ? A moins qu’il ne s’agisse d’un certain charisme de passage ? L’écriture onirique se charge de développer cet état d’être. Une page s’est ouverte sur une certaine philosophie : il y a des gens plus sensibles que d’autres, ceux dépourvus d’égoïsme et de non méfiance, on les appelle des « gentils », mais les gentils écorchés souffrent de la bêtise humaine qui ne peut pas se guérir.
Les génies de la littérature d’aujourd’hui :
« Les années avec Laura Diaz » de Carlos FUENTES
« Otages Intimes » de Jeanne BENAMEUR
« L’identité » de Milan KUNDERA
« Le Grand Ecart » de Jean COCTEAU