Les belles lettres, les pensées, les maximes et les anecdotes ont jalonné notre après-midi et nous étions emportés sur les rives de l’existentialisme. Un nouvel embarquement pour Haïti où nous trouvons une puissante écriture, une culture, ne laissant place à aucune facilité et où l’engagement dérange. Une fenêtre s’est ouverte sur les mots oubliés de notre langue française. L’amour d’un enfant arabe pour une femme juive nous ont obligés à la gratitude. Tandis que les ailes silencieuses d’un moulin en Corrèze tournaient la page de la tragédie 14/18, là où il fait bon vivre, en terroir, une fois les familles retrouvées. Et la passion sentimentale dans tout ça ? Une longue lettre de G.S. pour se défendre peut-être du chagrin amoureux, reste à méditer… La solitude est-elle alors un recours, un repli voire un secours ou bien une paix ?
Les auteurs nous ayant accompagnés :
« Pensées » de Grucho MARX (Julius, Henri)
« L’étoile absinthe » de Jack Stephen ALEXIS
« Le 1 » magazine hebdomadaire avec un développement de Alice ZENITER sur les mots
« La vie devant soi » de Romain GARY
« Le roi en son moulin » de Gilbert BORDES
« Lettre » de Georges SAND à Pietro PAGELLO son médecin italien (interrogation d’ordre analytique et philosophique sur les sentiments amoureux)
« Cavalier seul » de Mérédith LE DEZ (poésie)