Notre groupe de lecteurs était composé aujourd’hui par : Marianne, Marie-France, Anne, Mo’, Isaline, Vincent et Valdo pour la photo
Les secrets longtemps gardés puis dévoilés, les familles décomposées et recomposées, les violences conjugales, restent des sujets d’actualités et malheureusement pérennes nourrissant la littérature et le 7ème art. Toute vérité n’est pas bonne à dire quand des conséquences dramatiques se devinent. La possessivité d’un être aimé fait-elle partie des débordements ? La mélancolie est-elle la source de regrets ou d’attentes perdues à jamais dans la conscience ? Le conte peut répondre à tout, il permet de s’évader vers des horizons plus cléments. Le voyage est aussi une source d’évasion, de recherche du soi, de tolérance vers l’autre. Quant au carnet de voyage, même s’il contient des évènements terribles, est un témoin de son temps. Et encore et toujours la poésie viendra surprendre au détour des chemins…
Et méditons sur cette citation soulignée par Marianne :
« Voilà là le destin des grands hommes incompris de leurs contemporains »
Alfred de Musset
Les écrivains, cinéastes, illustrateurs et poètes qui ont été étudiés aujourd’hui :
« Petits secrets, grands mensonge » de Liane MORIARTY (Australie)
« Dilili à Paris » film d’illustration de Michel OSELOT (conte) passe actuellement à Saint-Quay-Portrieux (un bijou à ne pas manquer !) tout public.
« Une passion » de Gisèle HALIMI (une deuxième lecture)
« Mémoires enfouies de Coco Beach » de Vincent LARNICOL
« Encore combien à attendre » de Vincent LARNICOL
« Une blonde dans la Casbah » de I.R.
« Shrapnels – en marge de Bagdad » de Elisabeth HOREM
« D’écume et de granit » de Charles CARRERE